Illusionnistes parce que le président-directeur général du côté sportif avait l'admirable capacité de tromper – puis de décevoir physiologiquement – les Rossoneri de plus en plus consternés. Deux nuls et une victoire écrasante (4-0 contre l'Islande) ont suffi à la Russie pour détacher le billet aller simple vers la Bulgarie. En duo, Natsos sera secondé par Stathis Lamprou mais attention à la progression de Ioannis Tsingos, seize bougies à souffler en Bulgarie avec une envie concrète à exprimer : poursuivre le feeling avec l'objectif. Une feuille de route peu séduisante qui ne doit pas induire en erreur : battre les rouges de l'Est ne sera pas une promenade de santé. Encore mal défini mais certainement un diamant brut est Bilal Boutobba, celui qui a retenu l'attention de Marcelo Bielsa, qui, à 16 ans et trois mois, l'a même jeté dedans, dans les cinq dernières minutes du récent Monaco-OM. Il marque peu et souffre encore moins, malgré le fait que le numéro un absolu n'a pas encore été élu. La balance, à la veille du match contre la Russie, semble pencher vers l'invaincu Marios Siampanis, né en septembre 1999 et prêt à plonger dans le sillage de Kapino, autre gardien blanc-bleu qui s'est épanoui à l'ère Allievi mais dont l'évolution a été ralenti par l'énorme charge de responsabilité qui s'abat tôt sur son patron.
Pour un élan européen qui voit la quatrième place pas inatteignable, à seulement 4 longueurs. Ce seront des histoires et des personnages, pas seulement du football. Car, dit Jose Mourinho, "ceux qui ne connaissent que le football ne connaissent rien au football". Peut-être jouer un football granuleux mais délié par des tactiques ataviques. Et encore le capitaine et cerveau de l'équipe Tom Davies et Marcus Edwards, l'elfe du trocart considéré à domicile comme la prochaine grande vedette du football junior sous l'Union Jack (il ne jouera pas toujours, cependant, bref, quand il sera sur le terrain, il est sûr de s'amuser). L'Ecosse, cependant, a besoin d'un effort supplémentaire si elle veut remporter les quarts de finale. Pourtant, ce sont plus les exclus que les convoqués qui font débat, notamment au regard des renoncements répétés de Mario Balotelli et Andrea Belotti. Voir le profil de Balotelli sur Transfermarkt. Merci surtout à Frank Ross, un intérieur aux mouvements élégants, et au trio made in Celtic composé de Regan Hendry, Jack Aitchison et Mark Hill. Il se déplace entre les lignes, agace le porteur du ballon et monte rapidement au milieu de terrain, transformant le milieu de terrain en forme de losange en un alignement de quatre hommes, un déploiement qui offre une couverture supplémentaire à un arrière-garde qui souffre souvent lorsqu'il est attaqué dans des espaces larges, s'appuyant même sur le sens du poste d'Ian Wilson, milieu de terrain aux manettes longues et au dynamisme limité.
Au total, les remises ont été respectées et par conséquent les Bleus sont candidats pour jouer le rôle de trouble-fête du tournoi européen, à condition de respecter les distances entre les départements, d'accélérer la manœuvre et de gérer la possession du ballon avec plus de sérénité que ce que a été vu avec l'Angleterre lors de la première étape des qualifications ou lors d'un match amical contre l'Ukraine. Pas grand, large, puissant, aucun problème à prendre la responsabilité de jouer le ballon. Rôle de gardien, carte entre les mains des Rangers à Glasgow et, chose d'une importance absolue, un but encaissé, malheureusement fatal pour lui, lors des six matches de qualification en défendant le miroir du but. Mais que sera exactement MF? Ce seront des apports vivants et originaux, du cœur des événements suivis. Bref, un visage ouvert, comme l'aime Tom Mohan, en poste depuis 2012 et capable par le passé de faire trembler l'Autriche, la Serbie et les Pays-Bas. Outre-Manche, certes, ils font déjà des exorcismes, maillot bohemian fc encore plus après les mauvais réveils de février où la Hollande (7-0) et l'Allemagne (2-0) ont dansé sur les décombres et détruit les certitudes des Anglais. En résumé, limiter l'individualisme de talents comme Timothé Cognat, meneur de jeu de l'Olympique Lyonnaise, se traduit généralement par de beaux jeux et des excès de compétition (Jean-Victor Makengo et Dayot Upamecano, appréciés des meilleurs clubs anglais, manquent encore de maîtrise de leur physique ).
A la base, le profond respect du jeu de football et des aspects techniques et humains qui le caractérisent. Le 25 août 2014, il a été acheté pour 16 millions de livres par Liverpool, soit environ 20 millions d'euros. Selon Sportitalia, la Juve offre 6 millions, Milan en veut 12. Que diable, c'est une équipe nationale, il a gagné une Coupe du monde et un championnat d'Europe, c'est un protégé d'Allegri et peut-être même d'Ambra, il a 24 ans, donnez-nous 40 millions et pas si en parler plus. L'été exceptionnel vécu par Cutrone (4 buts en 6 apparitions) a en effet ralenti l'introduction d'André Silva, la signature la plus chère (38 millions d'euros plus 2 de bonus) après Bonucci. Beaucoup, constatant la réactivité et la sécurité dans les interventions de l'héritier au coq, seraient heureux de parier l'euro canonique dessus. L'Atalanta s'appuie sur deux joueurs experts comme Alessandro Diamanti et Marco Borriello, tandis que deux figures importantes font leurs adieux comme Germán Denis (Independiente), et Maxi Moralez, qui se rend au Mexique à León. Il y a une blague négative : les joueurs et les entraîneurs passent, mais le club reste.
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Le 25 février, quatre nouveaux cas liés à l'épidémie italienne ont été confirmés en Espagne. Après l'Australie, le deuxième pays atteint par le COVID-19 était la Nouvelle-Zélande, qui a confirmé le premier cas de l'épidémie sur son territoire un peu plus d'un mois plus tard, le 28 février. L'Iran, où le COVID-19 a déjà été confirmé le 19 février et qui, à la mi-avril, était le pays avec le plus de cas confirmés (plus de 80 000) dans la région avec la Turquie. Le deuxième pays après le Brésil était l'Argentine, où le premier cas de COVID-19 a été enregistré le 3 mars, et, lorsqu'un cas a également été confirmé aux îles Falkland le 3 avril, tous les États et territoires d'Amérique du Sud avaient enregistré au moins un cas de la maladie à l'intérieur de leurs frontières. Après les États-Unis, le deuxième pays d'Amérique du Nord à avoir confirmé un cas de COVID-19 a été le Canada, où un homme qui est revenu à Toronto de Wuhan a été trouvé positif pour le virus le 25 janvier.